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الجمعة، 13 فبراير 2015

Ce que dit le Coran sur l’univers en expansion et la théorie du Big Bang

La loi de Hubble

Durant des milliers d’années, les astronomes ont débattu sur diverses questions fondamentales au sujet de l’univers.  Jusqu’au début des années 20, on croyait que l’univers avait toujours existé et que sa dimension était fixe et inchangeable.  Mais en 1912, un astronome américain du nom de Vesto Slipher fit une découverte qui allait modifier à tout jamais les croyances des astronomes au sujet de l’univers.  Slipher remarqua que les galaxies s’éloignaient de la Terre à grande vitesse.  Ces observations fournirent les premières preuves à l’appui de la théorie de l’expansion de l’univers.[1]

Avant l’invention du télescope, en 1608, l’homme devait se résoudre à demeurer dans le néant quant aux origines de l’univers. (Photo : courtoisie de la NASA)

En 1916, Albert Einstein formula sa théorie générale de la relativité, qui indiquait que l’univers devait soit prendre de l’expansion, soit se contracter.  C’est finalement en 1929 que vint la confirmation de l’expansion de l’univers, par le réputé astronome américain Edwin Hubble.
En observant les redshifts (décalages vers le rouge)[2] des ondes lumineuses émises par les galaxies, Hubble découvrit que les galaxies n’étaient pas immobiles, comme on l’avait cru, mais qu’elles s’éloignaient de nous à une vitesse approximativement proportionnelle à leur distance de la Terre (loi de Hubble).  La seule explication à cette observation était que l’univers était en constante expansion.  La découverte de Hubble est considérée comme l’une des plus importantes de l’histoire de l’astronomie.  En 1929, Hubble publia un ouvrage sur le lien entre la vitesse et le temps, qui est à la base de la cosmologie moderne.  Dans les années qui suivirent et au gré de nouvelles observations et découvertes, la théorie de l’expansion de l’univers devint généralement acceptée dans les milieux scientifiques et astronomiques.

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À l’aide du télescope Hooker, Hubble découvrit que les galaxies s’éloignent de nous.  Ci-dessus, des photos de galaxies connues. (Photo : courtoisie de la NASA)

Et pourtant, étonnamment, longtemps avant l’invention même des télescopes et avant que Hubble ne parle de ses découvertes, le prophète Mohammed récitait à ses compagnons un verset du Coran affirmant que l’univers est en expansion :
« Le ciel, Nous l’avons édifié par Notre puissance, et c’est Nous qui l’étendons [constamment]. » (Coran 51:47)
À l’époque où le Coran fut révélé, le mot « espace » n’était pas encore connu.  C’est pourquoi les gens utilisaient le mot « ciel » pour faire référence à ce qui se situe au-dessus de la Terre.  Dans le verset ci-dessus, le mot « ciel » fait référence à l’espace et à l’univers.  Le verset souligne que l’espace, et donc l’univers, s’étend constamment, exactement comme le stipule la loi de Hubble.
Le fait que le Coran ait mentionné un tel fait des siècles avant l’invention du premier télescope, à une époque où les connaissances scientifiques en étaient à leurs premiers balbutiements, est extraordinaire.  Et cela l’est d’autant plus que, comme beaucoup de gens de son époque, le prophète Mohammed était illettré et ne pouvait posséder ce genre de connaissances (qui n’étaient de toute façon pas disponibles, à ce moment-là).  Se pourrait-il qu’il ait donc reçu une révélation divine, de la part de Celui qui a créé l’univers?

La théorie du Big Bang

Peu après que Hubble eut publié sa théorie de l’univers en expansion, il découvrit que non seulement les galaxies s’éloignent de la Terre, mais qu’elles s’éloignent également les unes des autres.  Ce qui signifie que l’univers s’étend dans toutes les directions, de la même façon que les parois d’un ballon s’éloignent les unes des autres lorsqu’on le remplit d’air.  Ces nouvelles découvertes de Hubble établirent ainsi les fondations de la théorie du Big Bang.
Selon la théorie du Big Bang, l’univers a connu, il y a de cela 12 à 15 milliards d’années, une période au cours de laquelle il était dense et chaud et où survint alors un genre d’explosion qui marqua le début de l’expansion de l’univers, laquelle expansion s’est toujours poursuivie, à partir de ce point.
Plus tard, en 1965, les radioastronomes Arno Penzias et Robert Wilson firent une découverte qui confirma la théorie du Big Bang et pour laquelle ils reçurent le prix Nobel de physique.  Avant leur découverte, la théorie du Big Bang laissait supposer que si le point à partir duquel l’univers avait débuté son expansion était dense et très chaud, alors nous devions pouvoir trouver des vestiges de cette chaleur.  Ces vestiges sont exactement ce que Penzias et Wilson découvrirent, en 1965 : un rayonnement fossile (rayonnement électromagnétique issu de l’époque dense et chaude de l’univers, connu sous l’abréviation CMB, en anglais, pour Cosmic Microwave Background Radiation) de 2,725 degrés Kelvin, qui traverse l’univers.  De nos jours, la théorie du Big Bang est acceptée par la quasi totalité des scientifiques et astronomes de par le monde.

Cosmic Background Explorer Data
Une carte micro-ondes des vestiges du Big Bang qui donna naissance à l’univers.  (Photo: courtoisie de la NASA)

Dans le Coran, Dieu dit :
« [Il est le] Créateur des cieux et de la terre. » (Coran 6:101)
« Celui qui a créé les cieux et la terre ne serait-Il pas capable de créer leurs pareils?  Oui, bien sûr!  Car Il est le Créateur suprême, l’Omniscient. Quand Il décide une chose, Son commandement se résume à dire : « Sois », et elle est aussitôt! » (Coran 36:81-82)
Ces versets démontrent que l’univers a connu un commencement, que Dieu est derrière sa création et que tout ce que Dieu a besoin de faire pour créer est de dire « Sois » et la chose est aussitôt.  Voilà l’explication de ce qui a provoqué l’explosion initiale, qui a mis en branle l’expansion de l’univers.
Dieu dit également, dans le Coran :
« Ceux qui ne croient pas ne savent-ils pas que les cieux et la terre ne formaient, à l’origine, qu’une masse compacte?  Puis, Nous les avons séparés et fait de l’eau toute chose vivante.  Ne croiront-ils donc pas? » (Coran 21:30)
Selon les érudits musulmans qui tentèrent d’expliquer ce verset, il y a eu un moment où les cieux et la terre ne formaient qu’une masse compacte, que Dieu sépara pour en faire sept cieux et une terre.  Mais comme les connaissances scientifiques étaient très limitées, à l’époque de la révélation du Coran, aucun d’entre eux ne put fournir de plus amples détails sur la façon exacte dont les cieux et la terre furent créés.  Ils ne pouvaient qu’expliquer le sens de chaque mot, en arabe, de même que le sens général du verset.
Dans le verset ci-dessus, les termes arabes ratq et fataq sont utilisés.   Le motratq peut être traduit comme « entité », « cousu à », « réunis » ou « rapprochés ».  Ces différentes traductions possibles font toutes référence à quelque chose qui est hétérogène tout en ayant une existence distincte en soi.  Le verbe fataq peut se traduire comme « nous avons décousu », « nous les avons séparés et éloignés », « nous avons séparé » ou « nous les avons ouverts ».  Ces significations laissent entendre qu’une chose devient existante après qu’il y ait eu une séparation ou une déchirure.  La germination d’une graine, dans le sol, est un bon exemple qui peut illustrer la signification du verbe fataq.
Avec l’apparition de la théorie du Big Bang, il devint clair, pour les érudits musulmans, que les détails de cette théorie allaient de pair avec la description de la création de l’univers que l’on retrouve au verset 30 de la sourate 21 du Coran.  Cette théorie stipule que toute la matière de l’univers est issue d’une seule et même masse qui, à un certain moment, fut extrêmement dense et chaude, avant d’exploser et de marquer ainsi le commencement de l’univers.  Ce qui va tout à fait dans le même sens que le verset 30:21, qui mentionne que les cieux et la terre (donc l’univers) formaient une masse compacte, puis se séparèrent.  Encore une fois, la seule explication possible à ce verset est que le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) reçut une révélation de la part de Dieu, le Créateur de l’univers.



Footnotes:
[1] The First Three Minutes, a Modern View of the Origin of the Universe (Les trois premières minutes, une vision moderne sur l’origine de l’univers), Weinberg.
[2] Lorsque la lumière émise par un objet se décale vers le rouge du spectre. (http://bjp.org.cn/apod/glossary.htm)

Le miracle du fer


Le fer est l’un des éléments dont fait mention le Coran.  Dans la sourate al-Hadid (le fer), on peut lire ce qui suit :
« Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens. » (Coran 57:25)
Certains ont pu croire que le mot arabe « anzalna », traduit ici par « descendre » et qui est utilisé pour parler du fer, dans ce verset, avait un sens métaphorique visant à faire entendre que le fer a été envoyé par Dieu pour profiter aux gens.  Mais lorsque nous prenons en considération son sens littéral, qui signifie « être physiquement descendu du ciel » (car dans le Coran, chaque fois que ce mot a été utilisé, il l’a été au sens littéral, comme la pluie ou la révélation qui descend du ciel), nous réalisons que le verset fait référence à un important miracle scientifique.  Car les découvertes astronomiques modernes nous apprennent que le fer que l’on trouve sur terre provient d’étoiles géantes de l’espace intersidéral.[1]
En fait, il ne s’agit pas uniquement du fer que l’on trouve sur la terre, mais du fer que l’on trouve dans tout le système solaire, car la température du soleil ne permet pas la formation du fer.  Le soleil a une température de surface de 6000 degrés Celsius et une température d’environ 20 millions de degrés Celsius en son noyau.  Le fer ne peut être produit que dans des étoiles de taille très supérieure à celle du soleil, dans lesquelles la température atteint quelques centaines de millions de degrés Celsius.  Lorsque la quantité de fer dépasse un certain niveau, dans une étoile, celle-ci n’arrive plus à le contenir; elle finit alors par exploser et devenir ce qu’on appelle une « nova » ou une « supernova ».  Ce sont ces explosions qui libèrent le fer dans l’espace.[2]
Une publication scientifique, American Scientist, fournit les informations suivantes à ce sujet :
« Il existe également des preuves concernant d’anciennes supernovae.  Des niveaux élevés de fer-60 dans des sédiments pélagiques indiquent qu’une explosion de supernova s’est produite à 90 années-lumière du soleil il y a de cela environ 5 millions d’années.  Le fer-60 est un isotope radioactif du fer formé lors d’explosions de supernovae; il finit par se désintégrer et sa demi-vie est d’une durée de 1,5 millions d’années.  La  présence importante de cet isotope dans une strate indique une récente nucléosynthèse d’éléments non loin dans l’espace et leur descente subséquente vers la terre (peut-être mêlés à des grains de poussière). »[3]
Tout cela démontre que le fer ne s’est pas formé sur la terre, mais qu’il provient de supernovae; il a donc été « descendu » sur terre, tel que le mentionne le verset.  Il est clair que cette réalité ne pouvait être connue au 7e siècle, lors de la révélation du Coran.  Néanmoins, elle est mentionnée dans le Coran, la Parole de Dieu, qui embrasse tout dans Son savoir infini.
Le fait que le verset parle du fer en particulier est étonnant si l’on considère que ces découvertes ont été faites à la fin du 20e siècle.  Dans son ouvrage intituléNature’s destiny, le réputé microbiologiste Michael Denton souligne l’importance du fer :
« De tous les métaux, aucun n’est plus essentiel à la vie que le fer.  C’est l’accumulation de fer au centre d’une étoile qui déclenche l’explosion d’une supernova et la dispersion subséquente des atomes essentiels à la vie à travers le cosmos.  C’est l’attraction exercée par la gravité des atomes de fer vers le centre de la terre, au cours de ses premiers stades de développement, qui a généré la chaleur qui a occasionné la différentiation chimique initiale de la terre, la libération des gaz de l’atmosphère primitive et, finalement, la formation de l’hydrosphère.  C’est le fer en fusion au centre de la terre qui, tel un gigantesque dynamo, génère le champ magnétique terrestre qui, à son tour, donne naissance aux ceintures de radiation Van Allen qui protègent la surface de la terre des radiations cosmiques pénétrantes de haute énergie et qui préservent l’essentielle couche d’ozone de la destruction par les rayons cosmiques…
 « Sans l’atome de fer, il n’y aurait pas de vie basée sur la chimie du carbone dans le cosmos; pas de supernovae, pas de réchauffement de la terre primitive ni d’atmosphère ni d’hydrosphère.  Il n’y aurait pas de champ magnétique protecteur, pas de ceintures de radiation Van Allen, pas de couche d’ozone, aucun métal pour fabriquer l’hémoglobine (dans le sang humain) ni pour contrôler la réactivité de l’oxygène, et pas de métabolisme oxydant.
« L’intrigante et étroite relation entre la vie et le fer, entre la couleur rouge du sang et l’agonie d’une étoile reculée indique non seulement l’importance des métaux dans la biologie, mais aussi le biocentrisme du cosmos… »[4]
Cette explication indique clairement l’importance de l’atome de fer.  Le fait qu’une attention particulière soit portée au fer, dans le Coran, souligne également l’importance de cet élément.
Par ailleurs, des particules d’oxyde de fer ont été utilisées, récemment, dans le traitement du cancer, avec des résultats positifs.  Une équipe menée par le docteur Andreas Jordan, du Charité Hospital, en Allemagne, a réussi à détruire des cellules cancéreuses avec cette nouvelle technique développée dans la lutte au cancer, c’est-à-dire l’hyperthermie liquide magnétique.  Cette technique a d’abord été testée sur un homme de 26 ans, Nikolaus H., chez qui aucune nouvelle cellule cancéreuse n’est apparue au cours des trois mois suivant le traitement.
Cette méthode de traitement peut être résumée ainsi :
1.    Un liquide contenant des particules d’oxyde de fer est injecté dans la tumeur à l’aide d’une seringue.  Ces particules se répandent dans les cellules cancéreuses.  Le liquide en question est composé de milliers de millions de particules qui sont mille fois plus petites que les globules sanguins et qui peuvent aisément voyager à travers les vaisseaux sanguins.[5]
2.    Le patient est ensuite installé dans un appareil à puissant champ magnétique.
3.    Ce champ magnétique active les particules de fer dans la tumeur.  À ce moment, la température à l’intérieur de la tumeur augmente à 45 degrés Celsius.
4.    En l’espace de quelques minutes, les cellules cancéreuses, incapables de se protéger contre cette chaleur soudaine, sont soit affaiblies, soit détruites.  Le traitement est alors suivi d’une chimiothérapie afin de détruire totalement la tumeur.[6]
Dans ce traitement, ce sont seulement les cellules cancéreuses qui sont affectées par le champ magnétique, car elles sont les seules à contenir les particules d’oxyde de fer.  Cette technique constitue un développement majeur dans le traitement de cette maladie trop souvent mortelle.  Le fer est également connu comme traitement contre l’anémie.
Connaissant maintenant l’utilité du fer dans le traitement de ces maladies extrêmement répandues, on peut voir sous un autre jour les paroles du verset 25 de la sourate 57 du Coran : « Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens ».  Et Dieu sait mieux.


Footnotes:
[1] Dr Mazhar U. Kazi, 130 Evident Miracles in the Qur'an (New York, USA: Crescent Publishing House: 1998), 110-111; et www.wamy.co.uk/announcements3.html, du prof. Zighloul Raghib El-Naggar’s speech.
[2] Ibid.
[3] Priscilla Frisch, “The Galactic Environment of the Sun,” American Scientist, January-February 2000, www.americanscientist.org/template/AssetDetail/assetid/21173?fulltext=true.
[4] Michael J. Denton, Nature’s Destiny (The Free Press: 1998), 198.
[5] www.inm-gmbh.de/cgi-bin/frame/frameloader.pl?sprache=en&url=http://www.inm-gmbh.de/htdocs/technologien/highlights/highlights_en.htm.
[6] "Nanotechnology successfully helps cancer therapies," IIC Fast Track, Nanotech News from Eastern Germany, Industrial Investment Council, October 2003; www.iic.de/uploads/media/NANO_FT_Nov2003_01.pdf

Commentaires de quelques savants sur les miracles scientifiques du Coran

Le texte qui suit comprend les commentaires de quelques savants[1]  sur les miracles scientifiques du Coran.  Tous ces commentaires sont tirés de la cassette vidéo intitulée This is the Truth [Ceci est la vérité].  Dans cette cassette vidéo, nous pouvons voir et entendre les scientifiques faire les commentaires suivants.  (Pour visionner un commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez sur le lien à la fin du commentaire.  Pour obtenir une copie de cette cassette vidéo, veuillez visiter cette page.)
1)    Le docteur T. V. N. Persaud est professeur d’anatomie, de pédiatrie, et d’obstétrique-gynécologie et des sciences de la reproduction à l’université du Manitoba à Winnipeg, Manitoba, Canada.  Il y a été le président du Département d’anatomie pendant 16 ans.  Il est très reconnu dans son domaine.  Il est l’auteur ou l’éditeur de 22 manuels et il a publié plus de 181 articles scientifiques.  En 1991, il a reçu le prix le plus distingué attribué dans le domaine de l’anatomie au Canada, le J.C.B., Grand Prix de l’Association canadienne des anatomistes.  Lorsqu’on l’interrogea sur les miracles scientifiques du Coran, qu’il a étudiés, il déclara ce qui suit:
“D’après ce qu’on m’a dit, Mohammad était un homme très ordinaire.  Il ne savait pas lire et ne savait pas écrire; c’était un illettré.  Et nous parlons d’un homme qui a vécu il y a plus de douze [en fait plutôt quatorze] siècles.  Alors vous avez quelqu’un d’illettré qui fait, à propos des sciences naturelles, de profondes déclarations qui sont étonnament exactes.  Et personnellement, je ne vois pas comment cela pourrait relever du simple hasard.  Il y a trop d’exactitudes et, comme le docteur Moore, je n’ai pas de difficulté à accepter l’idée que c’est une inspiration divine, ou une révélation, qui l’a amené à faire ces déclarations.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
Le professeur Persaud a inclus quelques versets coraniques et hadiths du prophète Mohammad dans certains de ses ouvrages.  Il a également présenté ces versets et hadiths du prophète Mohammad dans diverses conférences.
2)    Le docteur Joe Leigh Simpson est président du Département d’obstétrique-gynécologie, professeur d’obstétrique-gynécologie, et professeur de génétique humaine et moléculaire au Baylor College of Medicine, à Houston, Texas, États-Unis.  Auparavant, il était professeur d’obstétrique-gynécologie et président du Département d’obstétrique-gynécologie à l’Université du Tennessee à Memphis, Tennessee, États-Unis.  Il a aussi été président de la Société américaine de Fertilité.  Il a reçu plusieurs prix, dont, en 1992, le prix de la reconnaissance du public décerné par l’Association des professeurs d’obstétrique-gynécologie.  Le professeur Simpson a étudié les deux hadithssuivants du prophète Mohammad:
“Dans chacun d’entre vous, tous les éléments de votre création sont rassemblés dans l’utérus de votre mère en l’espace de quarante jours...”[2]
“Si l’embryon dépasse le stade de quarante-deux jours, Dieu lui envoie un ange qui le façonne et crée son ouïe, sa vue, sa peau, sa chair et ses os...”[3]
Il a beaucoup étudié ces deux paroles du prophète Mohammad; il a remarqué qu’en effet, les quarante premiers jours constituent un stade que l’on peut clairement distinguer des autres stades dans la genèse de l’embryon.  Il a été particulièrement impressionné par la parfaite exactitude de ces paroles du prophète Mohammad.  Et, au cours d’une conférence, il a émis l’opinion suivante:
“Donc les deux hadiths (paroles du prophète Mohammad) que nous avons retenus nous fournissent un calendrier très précis du développement embryologique général durant les quarante premiers jours.  Comme les autres conférenciers en ont fait la remarque à plusieurs reprises, ce matin, ceshadiths n’ont pu être révélés sur la base des connaissances scientifiques qui étaient disponibles à l’époque où ils ont été écrits...  Il s’ensuit, je crois, que non seulement il n’y a aucun conflit entre la génétique et la religion, mais qu’en fait, la religion peut guider la science en apportant des révélations aux approches scientifiques traditionnelles.  Et il y a, dans le Coran, des déclarations dont le caractère véridique a été démontré des siècles plus tard, ce qui prouve que les connaissances scientifiques que l’on retrouve dans le Coran proviennent de Dieu.”. (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
3)    Le docteur E. Marshall Johnson est professeur émérite d’anatomie et de biologie liée au développement à l’université Thomas Jefferson à Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis.  Il y a été, pendant 22 ans, professeur d’anatomie, président du Département d’anatomie, et directeur de l’Institut Daniel Baugh.  Il a également été président de la Société de Tératologie.  Il est l’auteur de plus de 200 publications.  En 1981, au cours de la Septième Conférence Médicale à Dammam, en Arabie Saoudite, le professeur Johnson déclara, lors de son exposé sur son travail de recherche:
“Résumé: le Coran décrit non seulement le développement externe, mais met aussi l’accent sur les stades internes, les stades à l’intérieur de l’embryon, c’est-à-dire les stades de sa création et de son développement, et il met l’accent sur des faits importants reconnus par la science contemporaine.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
Il a dit également: “ En tant que scientifique, je ne m’occupe que de choses que je peux clairement voir.  Je suis capable de comprendre l’embryologie et la biologie liée au développement.  Je suis capable de comprendre les mots du Coran qui me sont traduits.  Comme l’exemple que j’ai donné tout à l’heure, si je vivais à cette époque-là, tout en sachant ce que je sais aujourd’hui, et que je voulais décrire les choses, je serais incapable de les décrire de la façon dont elles ont été décrites.  Je ne vois pas comment on pourrait réfuter l’idée voulant que cet individu, Mohammad, a dû prendre ses informations quelque part.  Donc je ne vois rien, ici, qui vienne contredire le concept selon lequel ses paroles ont été prononcées sous l’influence d’une intervention divine.”[4]  (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
4)    Le docteur William W. Hay est un scientifique maritime très connu.  Il est professeur de sciences géologiques à l’Université du Colorado à Boulder, Colorado, États-Unis.  Auparavant, il était le doyen de la Rosenstiel School of Marine and Atmospheric Science à l’Université de Miami à Miami, Floride, États-Unis.  Après une discussion avec le professeur Hay au sujet des passages du Coran traitant de faits récemment découverts sur les mers et océans, il dit:
“Je trouve très intéressant que ce genre d’information se retrouve dans les écritures anciennes du Coran, et je n’ai aucun moyen de savoir d’où elles peuvent venir, mais je crois qu’il est extrêmement intéressant qu’elles soient là, et que ces travaux se poursuivent pour découvrir la signification de certains passages.”  Et quand on l’interrogea sur la provenance du Coran, il répondit: “Et bien, je crois qu’il vient de l’Être divin.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
5)    Le docteur Gerald C. Goeringer est directeur de programme et maître de conférences d’embryologie médicale au Département de biologie cellulaire de l’École de médecine de l’Université Georgetown à Washington DC, États-Unis.  Au cours de la Huitième Conférence Médicale saoudienne à Riyadh, en Arabie Saoudite, le professeur Goeringer a déclaré ce qui suit lors de son exposé sur son travail de recherche:
“Un nombre relativement peu élevé de ayahs (versets coraniques) comprennent une description assez détaillée du développement humain, à partir du moment de l’union des gamètes à l’organogenèse.  Aucun autre document aussi clair et complet sur le développement humain, incluant la classification, la terminologie et la description, n’avait existé auparavant.  Dans la plupart, sinon dans tous les exemples, cette description précède de plusieurs siècles les rapports écrits sur les divers stades du développement embryonnaire et foetal enregistrés dans la littérature scientifique traditionnelle.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
6)    Le docteur Yoshihide Kozai est professeur émérite à l’Université de Tokyo à Hongo, Tokyo, Japon, et il a déjà été directeur de l’Observatoire astronomique national à Mitaka, Tokyo, Japon.  Il a déclaré:
“Je suis très impressionné de trouver des informations astronomiques véridiques dans le Coran.  Nous, astronomes modernes, avons concentré nos efforts pour arriver à comprendre de très petites parties de l’univers.    Parce qu’en utilisant des télescopes, nous ne pouvons voir que de petites parties du ciel sans avoir une vision générale de l’univers tout entier.  Donc, en lisant le Coran et en répondant aux questions, je crois que je peux trouver une nouvelle façon de faire des recherches sur l’univers.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
7)    Le professeur Tejatat Tejasen est le président du Département d’anatomie à l’Université Chiang Mai en Thaïlande.  Auparavant, il était doyen de la Faculté de médecine de la même université.  Au cours de la Huitième Conférence Médicale saoudienne à Riyadh, en Arabie Saoudite, le professeur Tejasen se leva et déclara:
“Durant les trois dernières années, je me suis intéressé au Coran...  D’après mes études et ce que j’ai appris au cours de cette conférence, je crois que tout ce qui a été rapporté dans le Coran il y a quatorze siècles est la vérité, qui peut être prouvée par des moyens scientifiques.  Comme le prophète Mohammad ne pouvait ni lire ni écrire, Mohammad est nécessairement un messager qui a transmis cette vérité, qui lui a été révélée à titre d’édification par celui qui est le Créateur.  Ce Créateur est Dieu.  Par conséquent,  je crois qu’il est temps, pour moi, de déclarer La ilaha illa Allah, il n’y a pas d’autre dieu qui mérite d’être adoré en dehors de Dieu, Mohammadour rasoulou Allah, Mohammad est le messager (prophète) d’Allah (Dieu).  Finalement, j’aimerais présenter mes félicitations pour la très réussie et excellente organisation de cette conférence... Cette conférence m’a beaucoup apporté du point de vue scientifique et religieux, et j’ai eu  l’occasion de rencontrer plusieurs scientifiques très connus et de me faire plusieurs nouveaux amis parmi les participants.  Et la chose la plus précieuse que j’ai gagnée en venant à cette conférence est La ilaha illa Allah, Mohammadour rasoulou Allah, et d’être devenu musulman.” (Pour visionner ce commentaire en vidéo RealPlayer (en anglais), cliquez ici)
Après tous ces exemples de miracles scientifiques du Coran que nous venons de voir, et tous ces commentaires de savants à ce sujet, posons-nous les questions suivantes:
·        N’est-ce qu’un hasard si toutes ces informations scientifiques récemment découvertes ont été mentionnées dans le Coran, qui a été révélé il y a plus de quatorze siècles?
·        Ce Coran a-t-il pu être écrit par Mohammad ou par n’importe quel autre être humain?
La seule réponse possible est que ce Coran est nécessairement la parole de Dieu, révélée par Lui.


Footnotes:
[1] Note: la profession de tous les scientifiques mentionnés sur ce site a été mise à jour pour la dernière fois en 1997.
[2] Rapporté dans Sahih Mouslim, #2643, et Sahih Al-Boukhari, #3208.
Notez que ce qui est écrit entre ces accolades “...”  sur notre site est la traduction des paroles du prophète Mohammed.  Notez également que ce symbole # utilisé dans les notes en bas de page indique le numéro du hadith auquel on fait référence. Un hadith est un rapport fidèle transmis par les compagnons du prophète Mohammed sur ce que ce dernier a dit, fait, ou approuvé.
[3] Rapporté dans Sahih Mouslim, #2645.
[4] Le prophète Mohammed était illettré.  Il ne savait ni lire ni écrire, mais il a dicté le Coran à ses compagnons et a ordonné à certains d'entre eux de le mettre par écrit.

Ce que dit le Coran au sujet des nuages



L’étude des divers types de nuages a permis aux scientifiques de réaliser que la formation et l’aspect des nuages de pluie sont régis selon des systèmes bien précis et suivent certaines étapes qui varient selon les types de vents et de nuages.
Un des types de nuages de pluie est le cumulo-nimbus.  Les météorologues ont étudié la formation des cumulo-nimbus et la façon dont ils produisent la pluie, la grêle et les éclairs.
Ils ont découvert que les cumulo-nimbus passent à travers les différentes étapes suivantes pour produire de la pluie:
1)                  Les nuages sont poussés par le vent: Les cumulo-nimbus commencent à se former lorsque le vent pousse des fragments de nuages (cumulus) vers une aire où ces nuages convergent (voir illustrations 1 and 2).

Illustration 1: Photo satellite montrant les nuages se déplaçant vers les aires de convergence B, C, et D.  Les flèches indiquent les directions du vent. (The Use of Satellite Pictures in Weather Analysis and Forecasting [L’utilisation des images satellites dans l’analyse et les prévisions météorologiques], Anderson et al., p. 188.)

Illustration 2: Petits fragments de nuages (cumulus) se dirigeant vers une zone de convergence près de l’horizon, où l’on aperçoit un gros cumulo-nimbus. (Clouds and Storms [Les nuages et les tempêtes], Ludlam, cliché 7.4.)

2)                  Les nuages se rassemblent: Ensuite les fragments de nuages se rassemblent pour former un nuage plus gros[1] (voir illustrations 1 and 2).
Illustration 2: A) Fragments de nuages isolés (cumulus).  (B) Lorsque les fragments de nuages de rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé; le nuage se développe alors en hauteur.  Les gouttes d’eau sont indiquées par les ·. (The Atmosphere [L’atmosphère], Anthes et al., p. 269.)

3)                  Le nuage se développe en hauteur: Lorsque les petits nuages se rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé.  Les courants d’air ascendants qui sont situés près du centre du nuage sont plus forts que ceux situés près des bords.[2]  Ces courants d’air ascendants provoquent le développement en hauteur du nuage, formant une structure en forme d’enclume (voir illustrations 2 (B), 3, and 4).  Ce développement en hauteur fait en sorte que le nuage s’étend jusqu’à des régions plus froides de l’atmosphère, et c’est là que des gouttes d’eau et des grêlons se forment et augmentent de volume.  Lorsque ces gouttes d’eau et ces grêlons deviennent trop lourds pour être soutenus par les courants d’air ascendants, ils commencent à tomber du nuage sous forme de pluie et de grêle.[3]

Illustration 3: Un cumulo-nimbus.  Après que le nuage se soit développé en hauteur, formant une structure en forme d’enclume, de la pluie s’en échappe. (Weather and Climate [Conditions atmosphériques et climats], Bodin, p.123.)










Illustration 4: Un cumulo-nimbus. (A Colour Guide to Clouds [Guide illustré des nuages], Scorer et Wexler, p. 23.)

Dieu a dit, dans le Coran:
“N’as-tu pas vu que Dieu pousse les nuages?  Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois la pluie sortir de son sein.” (Coran 24:43)
Ce n’est que récemment que les météorologues ont découvert ces détails sur la formation, la structure et la fonction des nuages, en utilisant des équipements de pointe tels que des avions, des satellites, des ordinateurs, des ballons d’essai, etc. pour étudier les directions du vent, mesurer l’humidité et ses variations, et pour déterminer les niveaux et les variations de la pression atmosphérique.[4]
Le verset précédent, après avoir mentionné les nuages et la pluie, parle de la grêle et des éclairs:
“...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes.  Il en frappe qui Il veut et l’écarte de qui Il veut.  Peu s’en faut que l’éclat de son éclair ne ravisse la vue.” (Coran 24:43)
Les météorologues ont découvert que ces cumulo-nimbus, desquels tombe la grêle, atteignent une hauteur variant entre 25 000 et 30 000 pieds (7600 à 9100 mètres) , ou 4.7 à 5.7 milles (7,5 à 9,2 kilomètres),[5] une hauteur rappelant celle des montagnes, comme le dit le Coran: “...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes.” (voir illustration 4 ci-haut).
Ce verset peut nous amener à nous poser la question suivante: pourquoi est-il dit, dans ce verset, “son éclair” en parlant de la grêle?  Cela signifie-t-il que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair?  Voici ce que le livreMeteorology Today (La météorologie d’aujourd’hui) dit à ce sujet.  Il dit qu’un nuage devient électrifié lorsque les grains de grêle traversent une partie du nuage où circulent des gouttelettes très froides et des cristaux de glace.  Lorsque les gouttelettes heurtent les grains de grêle, elles gèlent à leur contact et libèrent en même temps de la chaleur latente.  Cela fait en sorte que la surface des grains de grêle reste plus chaude que celle des cristaux de glace environnants.  Lorsque les grains de grêle entrent en contact avec les cristaux de glace, un phénomène important se produit: des électrons circulent de l’objet le plus chaud à l’objet le plus froid.  C’est alors que les grains de grêle deviennent négativement chargés.  La même chose se produit lorsque des gouttelettes très froides entrent en contact avec des grains de grêle et que de minuscules éclats de glace chargés positivement se détachent.  Ces particules positivement chargées, qui sont plus légères, sont alors transportées dans la partie supérieure du nuage par les courants d’air ascendants.  La grêle, qui est restée avec une charge négative, descend dans la partie inférieure du nuage; cette partie devient donc négativement chargée.  Ces charges négatives sont alors déchargées sous forme d’éclairs.[6]  Nous pouvons conclure de cette explication que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair.
Ces informations sur la formation des éclairs n’ont été découvertes que récemment.  Jusqu’en l’an 1600, les idées d’Aristote sur la météorologie étaient dominantes.  Il croyait, par exemple,  que l’atmosphère contenait deux sortes d’émanations, l’une humide, l’autre sèche.  Il affirmait également que le tonnerre était le bruit de la collision entre l’émanation sèche et les nuages environnants, et que l’éclair était l’inflammation de l’émanation sèche à l’aide d’un faible feu de forme amincie.[7]  Ce sont là quelques idées sur la météorologie qui étaient dominantes à l’époque de la révélation du Coran, il y a quatorze siècles.


Footnotes:
[1] Voir The Atmosphere [L’atmosphère], Anthes et al., pp. 268-269, et Elements of Meteorology [Éléments de météorologie], Miller et Thompson, p. 141.
[2] Les courants d’air ascendants qui sont près du centre sont plus forts parce qu’ils sont protégés du refroidissement par la partie du nuage qui entoure le centre.
[3] Voir The Atmosphere [L’atmosphère], Anthes et al., p. 269, et Elements of Meteorology [Éléments de météorologie], Miller et Thompson, pp. 141-142.
[4] Voir Ee’jaz al-Quran al-Kareem fee Wasf Anwa’ al-Riyah, al-Sohob, al-Matar, Makky et al., p. 55.
[5] Elements of Meteorology [Éléments de météorologie], Miller et Thompson, p. 141.
[6] Meteorology Today [La météorologie d’aujourd’hui], Ahrens, p. 437.
[7] The Works of Aristotle Translated into English: Meteorologica [Les travaux d’Aristote traduits en langue anglaise: Meteorologica], vol. 3, Ross et al., pp. 369a-369b.

Ce que dit le Coran sur les mers profondes et les vagues internes

Dieu dit, dans le Coran:
“Les actions des mécréants sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde: des vagues la recouvrent, vagues au-dessus desquelles s’élèvent d’autres vagues, sur lesquelles il y a d’épais nuages.  Ténèbres entassées les unes au-dessus des autres; quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas...” (Coran 24:40)
Ce verset fait mention de l’obscurité profonde qui règne dans les profondeurs des mers et océans, là où lorsque quelqu’un étend la main, il ne peut presque pas la distinguer.  Les ténèbres dans les mers profondes commencent à une profondeur d’environ 200 mètres.  À cette profondeur, il n’y a presque pas de lumière (voir illustration 1).  Et il n’y a plus du tout de lumière à une profondeur de plus de 1000 mètres.[1]  Les êtres humains sont incapables de plonger à plus de quarante mètres sans l’aide de sous-marins ou d’équipements spéciaux.  Et ils ne peuvent survivre sans l’aide de ces équipements dans la partie obscure des océans, c’est-à-dire à une profondeur de 200 mètres et plus.
Illustration 1: Entre 3 et 30 pourcent de la lumière du soleil est reflétée à la surface de la mer.  Et la presque totalité des sept couleurs du spectre solaire sont absorbées, l’une après l’autre, dans les premiers 200 mètres, sauf la couleur bleue. (Oceans [Les océans], Elder et Pernetta, p. 27.)

Les scientifiques ont récemment découvert cette obscurité profonde à l’aide d’équipements spéciaux et de sous-marins qui leur ont permis de plonger dans les profondeurs des océans.
De la phrase suivante: “sur une mer profonde: des vagues la recouvrent, vagues au-dessus desquelles s’élèvent d’autres vagues, sur lesquelles il y a d’épais nuages.”, tirée du verset précédent, on comprend également que les eaux profondes des mers et océans sont recouvertes de vagues, et qu’au-dessus de ces vagues il y a d’autres vagues.  Il est clair que les deuxièmes vagues auxquelles le verset fait référence sont les vagues de surface que nous pouvons voir, car il est spécifié qu’au-dessus de ces vagues, il y a des nuages.  Mais qu’en est-il des premières vagues auxquelles le verset fait référence?  Les scientifiques ont récemment découvert qu’il existe des vagues internes “qui se trouvent sur les interfaces de densité, situées entre les couches de densités différentes.”[2] (voir illustration 2).

Illustration 16
Illustration 2: Vagues internes sur l’interface située entre deux couches d’eau de densités différentes.  L’une est dense (celle du bas), alors que l’autre est moins dense (celle du haut).  (Oceanography [L’océanographie], Gross, p. 204.)

Les vagues internes recouvrent les eaux profondes des mers et océans parce que les eaux profondes ont une densité plus élevée que celle des eaux au-dessus d’elles.  Les vagues internes se comportent de la même façon que les vagues de surface.  Tout comme les vagues de surface, elles peuvent aussi déferler.  Les vagues internes ne peuvent être perçues par l’oeil humain;  c’est en étudiant les variations de température ou de salinité à un endroit déterminé que l’on arrive à les détecter..[3]


Footnotes:
[1] Oceans [Les océans], Elder et Pernetta, p. 27.
[2] Oceanography [L’océanographie], Gross, p. 205.
[3] Oceanography [L’océanographie], Gross, p. 205.

Ce que dit le Coran sur les mers et les rivières


La science moderne a découvert qu’aux endroits où deux mers différentes se rencontrent, il y a une barrière entre elles.  Cette barrière sépare les deux mers de façon à ce que chacune conserve la température, la salinité et la densité qui lui sont propres.[1]  Par exemple, l’eau de la mer Méditerranée est chaude, saline et moins dense que celle de l’océan Atlantique.  Lorsque l’eau de la mer Méditerranée pénètre dans l’océan Atlantique, au niveau du détroit de Gibraltar, elle avance de plusieurs centaines de kilomètres dans l’Atlantique à une profondeur d’environ 1000 mètres, tout en conservant la température, la salinité et la densité moins élevée qui la caractérisent.   C’est à cette profondeur que l’eau de la Méditerranée se stabilise[2] (voir illustration 1).

Illustration 13 (agrandie)
Illustration 1: L’eau de la Méditerranée pénètre dans l’Atlantique au niveau du détroit de Gibraltar en conservant la température, la salinité et la densité moins élevée qui la caractérisent, grâce à la barrière qui les distingue.  Les températures sont en degrés Celsius (C°).  (Marine Geology [La géologie marine], Kuenen, p. 43, avec une légère amélioration.)

Malgré la présence de grosses vagues, de forts courants et de marées dans ces mers, elles ne se mélangent pas et ne dépassent pas cette barrière.
Le Coran fait mention d’une barrière entre deux mers qui se rencontrent et que ces dernières ne dépassent pas.  Dieu a dit:
“Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer; il y a entre elles une barrière qu’elles ne dépassent pas.” (Coran 55:19-20)
Mais quand le Coran parle de ce qui divise l’eau douce de l’eau salée, il mentionne l’existence d’un "barrage infranchissable" en plus de la barrière.
“Et c’est Lui qui donne libre cours aux deux mers: l’une douce, rafraîchissante, l’autre salée, amère.  Et Il assigne entre les deux une barrière et un barrage infranchissable.” (Coran 25:53)
On peut se demander pourquoi le Coran fait mention d’un barrage infranchissable lorsqu’il parle de ce qui divise l’eau douce de l’eau salée, mais n’en fait pas mention lorsqu’il parle de ce qui divise deux mers.
La science moderne a découvert que dans les estuaires, où l’eau douce et l’eau salée se rencontrent, le phénomène est en quelque sorte différent de celui que l’on retrouve dans les endroits où deux mers se rencontrent.  Il a été découvert que ce qui distingue l’eau douce de l’eau salée dans les estuaires est une "zone de pycnocline avec une discontinuité marquée au niveau de la densité, qui sépare les deux couches."[3]  Ce barrage (ou zone de séparation) a une salinité différente de celle de l’eau douce et de celle de l’eau salée[4] (voir illustration 2).

Illustration 14 (agrandie)
Illustration 2: Coupe longitudinale montrant la salinité (parties par millième ‰ ) dans un estuaire.  Nous pouvons voir le barrage (ou zone de séparation) entre l’eau douce et l’eau salée. (Introductory Oceanography [Introduction à l’océanographie], Thurman, p. 301, avec une légère amélioration.)

Ces informations n’ont été découvertes que récemment à l’aide d’équipements de pointe servant à mesurer la température, la salinité, la densité, la dissolubilité de l’oxygène, etc.  L’oeil humain ne peut percevoir la différence qui existe entre deux mers qui se rencontrent; car à l’oeil nu, les deux mers nous apparaissent comme une seule mer homogène.  De la même façon, l’oeil humain ne peut percevoir, dans les estuaires, la division de l’eau en trois types: l’eau douce, l’eau salée, et le barrage (ou zone de séparation).


Footnotes:
[1] Principles of Oceanography [Les principes de l’océanographie], Davis, pp. 92-93.
[2] Principles of Oceanography [Les principes de l’océanographie], Davis, p. 93.
[3] Oceanography [L’océanographie], Gross, p. 242.  Voir aussi Introductory Oceanography[Introduction à l’océanographie], Thurman, pp. 300-301.
[4] Oceanography [L’océanographie], Gross, p. 244, et Introductory Oceanography[Introduction à l’océanographie], Thurman, pp. 300-301.